COMPTE-RENDU DU 5 MAI
Les savons sont prêts mais préparation un peu tardive donc ils ne sont pas encore secs.
Distribution durant la réunion du 2 juin. Prévenir Hanna si vous ne pouvez pas les récupérer ce jour-là.
Savon nature 4€ et parfumé 5€. Vous pouvez envoyer vos chèques à Hanna directement.
Hanna voudrait passer la main. Rappel, ils sont à Montpellier rue Boyer.
La livraison se fait généralement par les savonniers eux-mêmes durant les réunions.
Avis aux volontaires.
elles arrivent ! 6€/kg.
Normalement, le vendredi soir aux Arceaux pendant la distribution des amaps.
Fonctionnement par avoirs. Pensez à réapprovisionner vos comptes.
Quelques gelées et biscuits à goûter aujourd'hui (très bons !)
Retard pour cette livraison : pas le vendredi 6 mai mais le 13 mai.
Aux Arceaux aussi.
Prochaine commande pour mi-juin. Livraison aux Arceaux.
Les brasseurs sont maintenant 3,5.
Jusqu'ici orge malté bio d'Allemagne. Partenariat avec CIVAM du Gard : 1ha en test pour production d'orge et maltage maison
Il leur faudrait 10-12ha pour couvrir leur besoin.
Il devrait y avoir une bière avec cet orge du Gard à partir de janvier prochain
Pas de bière de chanvre mais bientôt du cognac
proposition ponctuelle de confitures par nos producteurs de châtaignes. A partir de fruits sauvages : mûres, gratte-culs, figues, coings. Les tarifs seront envoyés sur la liste.
Coopérative bio (vers Aléria), la seule de Corse : http://www.alimea.fr/
Travaille avec plusieurs d'amap (jusqu'à Bordeaux) et ne sont pas encore sûrs de pouvoir nous fournir car arrivent à saturation.
Le contrat se ferait sous la forme d'une AMAP : caisse de 10kg/mois (25-30euros) de nov à mai qui comprend des clémentines, kiwi, citron, orange, avocat (car ils poussent bien avec les agrumes), kumquat, pomelos.
Discussion remise à plus tard :
Proposition de prendre des renseignements sur des producteurs à Saint-Chinian
Pour l'eczéma sec, cataplasme aux feuilles de mûrier.
Barbora nous a proposé de présenter ses parfums. Nous ne sommes pas intéressés. Un email a été envoyé pour lui transmettre notre réponse.
S'il y a une demande de poissons à la coopé, il existe deux piscicultures en bio (Saint-Guilhem et ??) donc plus proches que Nant, par exemple. A discuter à la prochaine réunion.
Sophie Lavorel, artisan moulinier (fruits secs)
Vie en autarcie, 500€/mois
Travail avec petits producteurs locaux, pas forcément bio.
Toutes graines sèches oléagineuses dont noisettes, amandes, noix mais aussi chènevis
Presse vis sans fin (nous montre des photos)
Huiles vierges et cosmétiques, sans conservateur
Pas de déchets, tout est valorisé : tourteau (bouchon), purée, huile, poudre (plus gros que farine)
Tarifs pro sur tous les produits sauf les purées
DLUO (Date Limite d'Utilisation Optimale) : 2 ans à partir du pressage pour l'huile.
Une fois entamée, ça ne bouge quasiment pas.
Récolte des fruits vers sept/oct. Ensuite, séchage, cassage, pressage. Enfin décantation (1mois).
Rendement : un petit 50% pour les noisettes, 30% pour le chanvre avant décantation.
Problème de l'acheminement : avec les châtaignes ? par train ?
En tout cas, plutôt une commande tous les 6 mois que tous les mois.
Le procédé de transformation nous convient mais les produits de base ne sont pas toujours bio, ce qui pose problème.
Un des fournisseurs de noisettes de Sophie, dont je n'ai noté le nom, nous présente sa production.
Il possède des terrains vers Carcassonne et y travaille depuis l'âge de 18 ans (il en a 62).
Viticulteur au départ, il a décidé de diversifier sa production : vignes, céréales, 13 ha de noisetiers plantés il y a 40 ans pour certains.
25 ans de travail avec la coopérative locale mais mal payé, il a donc préféré garder sa récolte et la commercialiser lui-même. Il produit des noisettes de table, décortiquées et en coque. Le ramassage se fait en septembre.
Il n'est pas en bio mais pratique l'agriculture raisonnée après des années d'agriculture conventionnelles.
Principaux problèmes :
Les noisettes bio ne proviennent pas du Languedoc. 90% des noisettes décortiquées viennent de Turquie où le baladin ne vit pas.
Une discussion démarre avec le producteur et Sophie sur la possibilité de faire du bio partout.
Des propositions sont faites à l'agriculteur :
Après le départ de Sophie et de son producteur, nous continuons à discuter.
On aurait dû leur demander le mode de production avant. Ce qui soulève la question des critères :
Les avis sont assez divers.
Nous convenons que nous ne pouvons que proposer d'aider un producteur, il faut qu'il est aussi la volonté de passer en bio.
Certains proposent de lui louer une de ses parcelles pour tenter une expérience bio. Une telle opération aurait un coût que la coopé ne peut supporter seule. Il faudrait alors s'associer avec d'autres groupements d'achats pour peser sur les pratiques des agriculteurs.
Je tiens à souligner qu'il faudrait envisager de (re)définir ce que nous appelons une charmandise pour éviter à des producteurs de faire un déplacement inutile.
Il a ouvert son restaurant il y a 15 jours et voudrait travailler en circuit court (pas forcément bio). Il demande s'il est possible d'avoir des contacts via la coopé. Nous lui conseillons de s'adresser directement aux charmants. Chaque responsable doit envoyer un petit résumé concernant sa charmandise.
Coordonnées :
Restaurant Le Chapeau Rouge Nicolas Miray 06 61 84 06 08 miray.n[at]free.fr
Tentative d'infiltration sioniste sur les listes de diffusion des amaps/coopé. Voir avec Géro pour le fonctionnement. Françoise va envoyer un email à l'auteur de l'envoi pour lui rappeler poliment que ces listes ne servent pas à cela.