COMPTE-RENDU DE LA REUNION DU 6 DECEMBRE
Huile d'olive bio à 14€/L. Il n'a pas besoin de nous pour écouler sa production. N'est pas encore en concurrence avec le projet de Rudy et Samira que nous parrainons car ils ne commenceront pas à faire de l'huile avant un certain temps.
La charmandise est revalidée.
D'après le CR de septembre, la coopé ne commande plus que les produits à base de chanvre d'Ananda et Cie (contact : Marie-Renée). Par conséquent, nous n'avons plus officiellement de fournisseur de ce type d'huiles. Nous nous demandons donc s'il y a des personnes intéressées par des huiles de colza ou de tournesol. Il faudrait alors définir les besoins (huile d'assaisonnement, de cuisson) et trouver s'il y a une production locale d'huile bio. Elisa nous rappelle que le producteur de lentilles fait aussi de l'huile de tournesol. (discussion nulle et non avenue, voir email de Marie-Renée du 20/12/2012 – Hakima)
Parmi les présents, personne ne s'y colle pour le moment : des volontaires ?
Sébastien Gal est un spécialiste de la pomme de terre qui travaille sur la commune de Notre-Dame de la Rouvière.
Il correspond à nos critères qualité (bio), éthique, local, besoin d'aide pour démarrer et enthousiaste.
Il a déjà tout vendu pour cette année. Elisa propose de prendre contact pour l'année prochaine. A rediscuter en tenant compte des autres producteurs de pommes de terre de la coopé.
C'est le même circuit que pour le chocolat au lait et noir. Ce chocolat blanc comporte du sucre roux, du beurre de cacao, du lait et de la vanille. La question de l'origine de la vanille est soulévée : Jérôme se renseignera pour la réunion de janvier.
L'association France Palestine Solidarité (FPS) a 50L d'huile d'olive produite en Palestine (75cl à 10€). Il ne s'agit pas d'une charmandise mais d'une occasion d'aider une cause. Elisa nous l'a proposé dans la mesure où nos charmands habituels Jacques et Nicolas ne nous ont pas proposé d'huile cette année. L'huile palestinienne est disponible dès maintenant pour ceux qui en veulent en décembre.
Contacter directement Elisa si vous êtes intéressé.
Marie contactera Nicolas et Sylvain contactera Jacques pour la réunion de janvier.
La question de la visibilité du raar s'est posé à travers deux points :
Nous nous demandons ce que cela peut nous apporter.
Le raar-es s'est construit dans le refus des institutions : nous ne voulons pas être récupérés par ces organismes. Donc pas de CIVAM et cie. Pour la « comm' », c'est surtout le bouche à oreille qui fonctionne.
Question sang neuf, Elisa nous propose de faire venir des personnes du groupe « Montpellier en transition » pour qu'ils nous parlent de ce qu'ils font.
Quant à demosphere, bien que nous n'en ressentions pas tous le besoin, nous acceptons que la prochaine réunion y soit annoncée. Gero se charge d'inscrire l'événement sur leur agenda.
Concernant les récentes dissensions au sein du groupe, certains pensent que cela est dû à la routine du raar-es (toujours les mêmes personnes, toujours les mêmes sujets, etc) qui nous amène à avoir des conflits personnels. D'autres pensent que cela est surtout la preuve de divergences de fond et de forme sur ce que les objectifs d'un groupe comme le raar-es.
Nous constatons que nous sommes toujours « passifs », nous n'avons pas de démarche ou de politique claire sur ce que doit être le raar-es. Nous devons avoir notre propre tempo et répondre aux demandes que nous recevons (civam et autres) en fonction de cette politique et non pas au coup par coup.
De même, nous avions parlé lors de réunions précédentes d'établir une liste des besoins de base des membres de la coopé afin de rechercher les producteurs et non plus de réagir aux propositions de charmandises. Par exemple, nous voulions des pâtes et Nicolas, absent aujourd'hui, est allé voir un producteur près de Nîmes qui produit sa propre farine et fait toutes sortes de pâtes. Il nous en parlera lors d'une prochaine réunion.
Dans l'optique de partager plus que des produits et essayer de faire des choses ensemble, propositions d'ateliers pratiques pour diminuer notre dépendance aux circuits marchands.
L'atelier pâtes est proposé pour la journée de rencontre entre groupements d'achats, courant janvier (à confirmer).
Journée de rencontre avec les autres groupements d'achats. 3 ou 4 personnes par groupe devraient venir.
Les groupes sont invités à réfléchir aux sujets qu'ils veulent aborder durant cette rencontre (voir les questions d'Astrid en fin de compte-rendu).
Béa, Géro et Elisa se renseignent sur la disponibilité des salles des maisons pour tous. Sinon, cela se fera à Scrupule.
Programme (à confirmer) :
Date : le 20 janvier 2013
Lieu : à confirmer.
Astrid (GA La Calebasse) :
1 - Quoi faire avec le Gagh ? à coupler avec :
2 -Quels outils efficaces pour échanger nos bons plans, infos et demandes ?
Prochaine réunion le 10 janvier 2013