Personnes présentes: Kshoo, Stéphanie, Marianne , Marianne, Josette, Vincent, Laurent, Rémy, Magali, Ambroise, Rumsaïs, Michel, Béatrice, Christophe, Isabeau, Françoise et Stéphane.
Avant d'entamer la discussion sur l'ordre de jour, un petit point sur la dernière réunion au sujet d'une éventuelle AMAP pain est entamée pour tenir les personnes qui le souhaitaient au courant. Afin de relancer cette idée discutée avant les vacances d'été, différentes choses seront proposées:
- renvoyer le compte rendu de la dernière réunion à tout le monde car peu de personnes étaient présentes
- proposer aux gens intéressés de dire les quantités et fréquence qu'ils souhaiteraient
- proposer une nouvelle réunion avec Antonio (le boulanger) d'ici peu
- regarder autour de nous les autres AMAP existant pour voir un peu comment ils s'organisent, ça peut donner des idées…
Après ce tour des charmandises, différents points sont soulevés:
1- Certains s'interrogent sur le fait d'utiliser la livraison des AMAPs du vendredi soir comme point de livraison de la coopé…
Plusieurs personnes estiment que cela n'est pas un problème sauf lorsque ça donne lieu à des commandes/achats le jour même peut être. Le sujet est ensuite abordé d'un autre angle lorsque Vincent soumet au groupe une proposition d' « évolution » de la coopé. Un moyen de financement de ce projet est semble-t-il possible.
2- Proposition d' “évolution” de la coopé vers un système de bar/commerce alternatif qui s'organiserait autour d'un local et avec l'aide d'un salarié
Cette proposition avancé par Vincent est celle de créer au sein d'un quartier un bar associatif et un local pour la « coopé » qui donnerait ainsi plus de possibilités pour un écoulement plus gros dans le but notamment de proposer aux agriculteurs que nous contactons de « vivre plus de ce moyen de commercialisation ».
Face à cette proposition, différents commentaires sont donnés:
- préfèrence pour le fonctionnement actuel qui permet une implication des différentes personnes ayant accès aux charmandises. Ce qui est intéressant c'est aussi d'avoir un contact avec les producteurs. Il est important que ça reste « petit », si la coopé atteignait 60 personnes, ce serait mieux d'en créer une autre.
- la coopé s'est construite également autour d'un lieu et il peut exister d'autres façons de le faire mais le choix a été de fonctionner avec l'idée de « décentralisation » et d « autogestion ».
Ensuite, Vincent explique que ce projet revêt une dimension sociale qui vise à intégrer plus de personnes et également être moins « élististe » avec l'idée d'amener vers ce type de commercialisations alternatives des personnes qui y sont moins sensibilisées. Internet par exemple est peut être selon lui trop restrictif.
Face à cette idée, différents commentaires sont donnés:
- sur la question de l'ouverture, il est précisé que la coopé est ouverte à qui le veut et que les réunions mensuelles permettent en plus d'internet d'entretenir des échanges.
Cela dit, l'expérience proposée par Vincent est tout à fait intéressante et chacun s'accorde à dire qu'elle existe en tant que telle sans pour autant se substituer à l'actuelle coopé, le plus important c'est la multiplication des tentatives. Il s'agit juste de deux modes d'approche différents pour un même but.